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Le sport est facteur essentiel de dynamisme économique et d’intégration sociale. Il est générateur d’emplois, il apporte un équilibre physique permettant de mieux s’épanouir dans ses autres activités, y compris professionnelles, il peut influer sur le « moral des ménages » lequel influe, à son tour, sur les indicateurs économiques.
Il peut constituer une réponse aux problèmes d’intégration et d’insertion, à tous les âges, ainsi qu’aux problèmes d’insécurité. Il contribue à la vie associative, fait naître et vivre des clubs sportifs, offre des « modèles » que des jeunes sont tentés de suivre : le tout permet de favoriser le « vivre en commun ».
Pourtant le Gouvernement l’a complètement délaissé, sans l’intégrer parmi les priorités, alors que la Coupe du monde de rugby de 2023 et les JO de 2024 (organisés en France et à Paris) auraient pu être un véritable moteur.
Les jeunes, même s’ils ne sont pas les seuls, sont les premiers concernés par les activités sportives.
Plus largement, au-delà de la seule question sportive, ils se sentent parfois abandonnés par le pouvoir et les responsables politiques, quand ils ne le sont pas par la société elle-même. Il faut prévoir une politique d’intégration sociale des jeunes, qui peut passer par le service civique ou une forme de don forfaitaire de l’État ou de prêt garanti par l’État.
La gauche sociale et solidaire doit se saisir de ces deux sujets, tant de façon disjointe que complémentaire, en proposant une politique d’intégration de la jeunesse, par le sport et de façon globale, qui favoriserait l’émergence d’élites sportives.